[Laicite-orga] Fw: Trans. : Port du voile : arrêt de la CFDH
ginette
ginetteplanes at wanadoo.fr
Jeu 30 Juil 19:11:50 CEST 2009
----- Original Message -----
From: <dden84 at neuf.fr>
To: <undisclosed-recipients:>
Sent: Thursday, July 30, 2009 2:48 PM
Subject: Trans. : Port du voile : arrêt de la CFDH
-----E-mail d'origine-----
De : madeleine <clabrun at wanadoo.fr>
A : andré serres <dden84 at neuf.fr>
Envoyé le : Jeudi, 23 Juillet 2009 14:47
Sujet : Fw: Port du voile : arrêt de la CFDH
André merci de diffuser
Madeleine
----- Original Message -----
From: DDEN du
Var
To: jl_imbert at yahoo.fr
Sent: Friday, July 17, 2009 8:46 PM
Subject: Port du voile : arrêt de la CFDH
Bonsoir à tous
Voici une information récente lue sur le
site du Monde.
Bon week-end
Jean-Louis IMBERT
Président UD du
Var
Port du voile : la CEDH rejette des plaintes contre
la France
LEMONDE.FR avec AFP | 17.07.09 |
19h34
La Cour européenne des droits de l'homme a déclaré
irrecevables des plaintes contre la France concernant l'exclusion
d'élèves
d'établissements scolaires en raison du port de signes
ostensibles
d'appartenance religieuse.
Les enfants des familles Aktas, Bayrak, Gamaleddyn,
Ghazal et Singh étaient inscrits à la rentrée scolaire 2004-2005
dans des
établissements publics. Le jour de la rentrée, les jeunes filles,
de
confession musulmane, se présentèrent avec les cheveux couverts
d'un voile
ou d'un couvre-chef. Les garçons Singh étaient coiffés du keski,
un
sous-turban porté par les sikhs.
"PROTECTION DES DROITS D'AUTRUI"
Selon les proviseurs, ces accessoires étaient
contraires aux dispositions prévues par la loi du 15 mars 2004
interdisant
des signes ou des tenues manifestant ostensiblement
l'appartenance à une
religion. Mlles Bayrak, Gamaleddyn et Aktas substituèrent
ensuite un bonnet à leur voile. Mais le conseil de discipline des
établissements avait prononcé leur exclusion définitive pour
non-respect
du code de l'éducation.
Devant la CEDH, les familles dénonçaient une violation
de leur liberté de pensée et de religion ainsi qu'une différence
de
traitement fondée sur leur religion. "Ce sont ces impératifs de
protection des droits d'autrui et de l'ordre public qui ont
motivé
l'exclusion, et non des objections aux convictions religieuses
des
élèves", a jugé la CEDH. La sanction d'exclusion "n'est pas
disproportionnée, les élèves ayant eu la possibilité de
poursuivre leur
scolarité au sein d'établissements d'enseignement à distance",
a-t-elle ajouté.
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